jeudi 18 février 2010

Un post girly?

Et oui, maintenant que j'ai changé mon interface et que je me suis remise à une écoute assidue de Sex and the City (je suis tellement une fan de ce show!!) je me suis dit qu'un petit post bien perso serait pas mal. Certains vont trouver ça un peu nombriliste, mais bon c'est un peu ça un blog? parler de soi aussi et puis ça fait du bien...

Alors pourquoi maintenant?
En fait c'est juste que je me demande si vous êtes comme moi, hantée par les fantômes de vos anciennes relations? Parce que moi je sais pas ce qui se passe ces temps-ci mais tout est fait pour qu'ils se rappellent à moi. Et comme si ça ne suffisait pas il s'agit évidemment de ceux qui me remémorent le plus de souvenirs.
C'est comme si, au moment où je suis de ma vie, elle s'évertuait à m'embuer...

Bah oui je finis mon certificat bientôt, et des choix s'imposent: Dois-je rester à Montréal? Rentrer en France? pour aller où? Et puis faire une maitrise? ou faire le grand saut dans la vie active?
Comment faire pour voir où on va si le chemin passé apparaît toujours bien présent?

Donc mon passé revient sous forme de mail, de chat, de cadeaux-promesses à faire... Il y a un moment où on parvient à faire acte du passé, à peser le pour et le contre, le pourquoi et le comment ça n'a pas marché. Mais quand on en est là prêt à passer à autre chose, et qu'on reçoit un petit geste de cette personne, on attend... on attend qu'il nous dise qu'on lui manque, que même si tout va bien, il lui manque quelque chose: notre présence,  notre odeur et toutes ces petites intentions qui soudaient notre couple...

Et nous voilà, retombées dans nos questionnements de nana: et si je rentrais en France? et si il n'était pas parti? s'il revenait?
On s'est construit une petite vie plutôt agréable depuis son départ, mais non on veut y retourner... Je pense que ça doit être dans nos gènes, à nous les femmes, mais on veut tout le temps se dire "Et si...", et ça nous hante.

Pour ma part, en plus ça m'arrive juste avant et après la Saint-Valentin, comme s'il voulait me dire qu'il avait pensé à moi à la Saint-Valentin et que même s'il sait que je l'ai passé avec quelqu'un d'autre, la notre aurait/a été mieux. Le pire c'est qu'il ne le dit pas, mais on imagine qu'il l'a dit/pensé...

 Pour finir ce petit post, cette photo illustre bien mes propos, je trouve: les ruptures c'est comme des instantanés, ils sont pris en quelques secondes mais subsistent pour longtemps. De là, à faire comme la demoiselle et s'offrir des verres de vodka, d'accord mais bon avec modération...Merci David Lachapelle et sa vision de collectionneuse d'hommes, je m'y retrouve un peu mais avec moins d'hommes.

1 commentaires:

Vero Bergeron a dit…

Intéressant! J'aime bien ta comparaison de la rupture avec les instantanés...tellement vrai!

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